Olivier Guez : « La disparition de Mengele« 
1949: Josef Mengele arrive en Argentine.
Caché derrière divers pseudonymes, l’ancien médecin tortionnaire à Auschwitz croit pouvoir s’inventer une nouvelle vie à Buenos Aires. L’Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier les crimes nazis. Mais la traque reprend et le médecin SS doit s’enfuir au Paraguay puis au Brésil. Son errance de planque en planque, déguisé et rongé par l’angoisse, ne connaîtra plus de répit… jusqu’à sa mort mystérieuse sur une plage en 1979.
Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet, trente ans durant?
La Disparition de Josef Mengele est une plongée inouïe au coeur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l’argent et l’ambition. Voici l’odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.

Eric Vuillard : « L’ordre du Jour » (Goncourt 2017)
Ils étaient vingt-quatre, près des arbres morts de la rive, vingt-quatre pardessus noirs, marron ou cognac, vingt-quatre paires d’épaules rembourrées de laine, vingt-quatre costumes trois pièces, et le même nombre de pantalons à pinces avec un large ourlet. Les ombres pénétrèrent le grand vestibule du palais du président de l’Assemblée ; mais bientôt, il n’y aura plus d’Assemblée, il n’y aura plus de président, et, dans quelques années, il n’y aura même plus de Parlement, seulement un amas de décombres fumants.

« Nos richesses » de Kaouther Adimi
En 1935, Edmond Charlot a vingt ans et il rentre à Alger avec une seule idée en tête, prendre exemple sur Adrienne Monnier et sa librairie parisienne. Charlot le sait, sa vocation est d’accoucher, de choisir de jeunes écrivains de la Méditerranée, sans distinction de langue ou de religion. Placée sous l’égide de Giono, sa minuscule librairie est baptisée Les Vraies Richesses. Et pour inaugurer son catalogue, il publie le premier texte d’un inconnu : Albert Camus. Charlot exulte, ignorant encore que vouer sa vie aux livres, c’est aussi la sacrifier aux aléas de l’infortune. Et à ceux de l’Histoire. Car la révolte gronde en Algérie en cette veille de Seconde Guerre mondiale.

En 2017, Ryad a le même âge que Charlot à ses débuts. Mais lui n’éprouve qu’indifférence pour la littérature. Étudiant à Paris, il est de passage à Alger avec la charge de repeindre une librairie poussiéreuse, où les livres céderont bientôt la place à des beignets. Pourtant, vider ces lieux se révèle étrangement compliqué par la surveillance du vieil Abdallah, le gardien du temple.

li_chansondouce« Chanson douce  » de L. Slimani (Prix Goncourt 2016)
Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d’un cabinet d’avocats, le couple se met à la recherche d’une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l’affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu’au drame.
A travers la description précise du jeune couple et celle du personnage fascinant et mystérieux de la nounou, c’est notre époque qui se révèle, avec sa conception de l’amour et de l’éducation, des rapports de domination et d’argent, des préjugés de classe ou de culture. Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, où percent des éclats de poésie ténébreuse, instaure dès les premières pages un suspense envoûtant.
La chronique de david Medioni ici

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« Une heure de lecture … » pour découvrir que la lecture peut être fun : 2 poèmes, 3 extraits de romans 4 nouvelles, des blagues, une playlist, une sélection de films… (3€)

V. Ovaldé : « Soyez imprudents les enfants » : Alors qu’elle a 13 ans, Atanasia Bartolome a comme une révélation devant une toile du peintre Roberto Diaz Uribe. Elle découvre qu’il est un cousin de son père et souhaite savoir ce que cherche à lui dire ce peintre, qui a disparu un jour comme tous les ancêtres Bartolome. La jeune fille décide de partir elle aussi explorer le vaste monde. (notre avis)

anaR. Enthoven, J. Perry-Salkow : « Anagrammes » :
Le monde est renversant, le sens est réversible, enseigne l’anagramme. Un art combinatoire qui consiste à déplacer les lettres d’un mot pour en former un autre. Un art de l’étonnement. Avec lui, l’espérance devient la présence, l’avoir ou l’être se change en l’or ou la vérité, et il arrive qu’un maître à penser soit un ami à présenter…
Mais une anagramme, c’est beaucoup plus qu’une anagramme. Chaque trouvaille est une aventure pour l’esprit. Quel chemin mène de la démocratie à l’art de la comédie ? Quel autre conduit Antigone jusqu’à sa négation ? Et que reste-t-il d’une question sans réponse ?
Raphaël Enthoven et Jacques Perry-Salkow, le professeur et l’artiste, nous emmènent dans les paysages buissonniers du langage et de la pensée.
Ph. Claudel : « Le rapport Brodeck » :brodbrodeJe m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien.
Je tiens à le dire. Il faut que tout le monde le sache.
Moi ne n’ai rien fait, et lorsque j’ai su ce qui venait de se passer, j’aurais aimé ne jamais en parler, ligoter ma mémoire, la tenir bien serrée dans ses liens de façon à ce qu’elle demeure tranquille comme une fouine dans une nasse de fer.
Mais les autres m’ont forcé: « Toi, tu sais écrire, m’ont-ils dit, tu as fait des études. » J’ai répondu que c’étaient de toutes petites études, des études même pas terminées d’ailleurs, et qui ne m’ont pas laissé un grand souvenir. Ils n’ont rien voulu savoir : « Tu sais écrire, tu sais les mots, et comment on les utilise, et comment aussi ils peuvent dire les choses. Ça suffira. Nous on ne sait pas faire cela. On s’embrouillerait, mais toi, tu diras, et alors ils te croiront. Et en plus, tu as la machine. »
-> Fin, prenant voire envoûtant…. Excellent.

Et son adaptation, un chef-d’oeuvre de Manu Larcenet !
Manu Larcenet s’attaque pour la première fois à une adaptation, celle du chef-d’oeuvre de Philippe Claudel, Le Rapport de Brodeck. Mais lorsque l’auteur de Blast et du Combat ordinaire s’empare du texte, c’est pour le faire sien et lui donner une nouvelle vie, éclatante, sombre et tragique. Des pages d’une beauté stupéfiante, magnifiant la nature sauvage et la confrontant à la petitesse des hommes ; une plongée dans les abîmes servie par un noir et blanc sublime et violent. Un très grand livre.
Manu Larcenet adapte de façon majestueuse le best-seller de Philippe Claudel : un chef-d’oeuvre.(Prix Landerneau 2015)

51mkbzwg51l-_sx210_C. Hunzinger : « L’incandescente » :L’Incandescente, c’est Marcelle, une adolescente vive, casse-cou, seize ans au début du roman, vingt-deux à la fin. Ce sont ses lettres écrites à Emma, la mère de la narratrice (la romancière Claudie Hunzinger), qui tissent la trame de ce roman d’amour. Autour de Marcelle et d’Emma, évoluent d’autres jeunes filles. Toute cette joyeuse bande est guettée par la maladie de ce temps, la tuberculose, ici vécue et racontée par une « enfant terrible », Marcelle, ce qui donne à l’histoire une hardiesse intrépide.Il y a aussi dans ce roman un autre personnage clef, Marcel, le père de la narratrice, dont la face sombre et cachée se révélera soudain?
cvt_continuer_4276L. Mauvignier : « Continuer » :
Sibylle, à qui la jeunesse promettait un avenir brillant, a vu sa vie se défaire sous ses yeux. Comment en est-elle arrivée là ? Comment a-t-elle pu laisser passer sa vie sans elle ? Si elle pense avoir tout raté jusqu’à aujourd’hui, elle est décidée à empêcher son fils, Samuel, de sombrer sans rien tenter.
Elle a ce projet fou de partir plusieurs mois avec lui à cheval dans les montagnes du Kirghizistan, afin de sauver ce fils qu’elle perd chaque jour davantage, et pour retrouver, peut-être, le fil de sa propre histoire.

téléchargement (5)C. Delaume : « Les sorcières de la République » :
Des choses, pas belles, se sont passées, en France, entre 2017 et 2020. Les femmes, par la main de déesses grecques surgies de l’Olympe, ont pris le pouvoir détenu par les hommes depuis des millénaires. L’Apocalypse, prédite pour décembre 2012, n’a pas eu lieu. Les déesses sont venues se mélanger à la société française. Le Parti du Cercle a imposé ses règles. L’expérience a très mal tourné. Mais comment faire la lumière sur ce règne éphémère et probablement sanglant, alors qu’une amnésie collective a été décidée par référendum au terme de cette page d’histoire, en 2020 ? Une amnésie appelée le Grand Blanc, approuvée à l’unanimité par la population. C’est pour juger cette douloureuse parenthèse que s’ouvre un maxi-procès dans ce qui fut longtemps le Stade de France et qui abrite désormais le Tribunal du Grand Paris. Nous sommes en 2062. À la barre, la Sibylle, prophétesse de la révolution des femmes. Pièces à conviction à l’appui, elle déroule le fil de sa mémoire, et la généalogie des événements. Petit à petit, on découvre la réalité de ces années très spéciales.
téléchargement (4) A. Seurat : « L’administrateur provisoire » :
Découvrant au début du récit que la mort de son jeune frère résonne avec un secret de famille, le narrateur interroge ses proches, puis, devant leur silence, mène sa recherche dans les Archives nationales. Il découvre alors que son arrière-grand-père a participé à la confiscation des biens juifs durant l’Occupation. Le récit tente d’éclairer des aspects historiques souvent négligés jusqu’à récemment, l’aryanisation économique de la France de Vichy, crime longtemps refoulé par la mémoire collective. Une enquête à la fois familiale et historique bouleversante, s’appuyant sur des documents réels.
H. Kaddour : « Les prépondérants » : En 1922, une équipe de tournage débarque à Nahbès, petite ville du Maghreb. Cette intrusion hollywoodienne, synonyme de modernité et de de liberté, bouleverse le quotidien des habitants et avive les tensions entre les notables traditionnels, les colons français et les jeunes nationalistes. De la collusion entre ces mondes et ces cultures naissent des destins et des histoires d’amour

C. Boltanski : « La cache » : « Nous avions peur. De tout, de rien, des autres, de nous-mêmes. De la petite comme de la grande histoire. Des honnêtes gens qui, selon les circonstances, peuvent se muer en criminels. De la réversibilité des hommes et de la vie. Du pire, car il est toujours sûr. Cette appréhension, ma famille me l’a transmise très tôt, presque à la naissance. »

Que se passe-t-il quand on tête au biberon à la fois le génie et les névroses d’une famille pas comme les autres, les Boltanski ? Que se passe-t-il quand un grand-père qui se pensait bien français, mais voilà la guerre qui arrive, doit se cacher des siens, chez lui, en plein Paris, dans un « entre-deux », comme un clandestin ? Quel est l’héritage de la peur, mais aussi de l’excentricité, du talent et de la liberté bohème ? comment transmet-on le secret familial, le noyau d’ombre qui aurait pu tout engloutir ?

J. Dicker : « La vérité sur l’affaire Harry Quebert«  : À New York, au printemps 2008, Marcus Goldman, jeune écrivain dickerà succès, est dans la tourmente, incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays se retrouve accusé d’avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison.
Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ?
Sous ses airs de thriller à l’américaine, La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert est une réflexion sur l’Amérique, sur les travers de la société moderne, sur la littérature, sur la justice et sur les médias. (9.20€, 850 p.)

« La vérité sur l’affaire Harry Quebert » a fait partie des sélections des Prix Goncourt et Femina 2014. Joël Dicker a obtenu le Goncourt des Lycéens et le Prix Tulipe pour son 1er roman « Les derniers jours de nos pères« .

« A ce stade de la nuit » de Maylis de Kerangal : Editée par Guérin à l’initiative de la Fondation Facim, la collection « Paysages écrits »kérangal propose à un écrivain de composer en toute liberté un texte inédit en s’inspirant de ses paysages familiers, qu’ils soient intimes ou géographiques.

Maylis de Kerangal s’est servi de cette contrainte pour nous offrir un petit livret sans contrainte au cours d’une nuit sans sommeil, chaque chapitre ouvert par ces mots « à ce stade de la nuit ». Rentrant chez elle, elle apprend à la radio le naufrage au large de Lampedusa. D’heure en heure, suivant fébrilement et douloureusement les infos, elle laisse son esprit divaguer d’association d’idées en évocations passagères. Déconcertant et terrible  (7.50€)

« D’après une histoire vraie » de Delphine de Vigan :de vigan

« Ce livre est le récit de ma rencontre avec L. L. est le cauchemar de tout écrivain. Ou plutôt le genre de personne qu’un écrivain ne devrait jamais croiser. »

Dans ce roman aux allures de thriller psychologique, Delphine de Vigan s’aventure en équilibriste sur la ligne de crête qui sépare le réel de la fiction. Ce livre est aussi une plongée au cœur d’une époque fascinée par le Vrai.

L. Binet : « La septième fonction du langage – qui a tué Roland Barthes ? » Le 25 février 1980, Roland Barthes est assassiné alors qu’il tracov_binet_barthesnsportait un document sur la septième fonction du langage, une fonction qui permet de convaincre n’importe qui de n’importe quoi. Le commissaire Jacques Bayard et le sémiologue Simon Herzog enquêtent parmi la crème du milieu intellectuel français et découvrent l’existence d’une société secrète, le Logos Club.

-> un livre savoureux dans le décalage entre le monde du policier (plutôt « Maigret ») et celui des intellectuels ( gays et décomplexés utilisant une autre langue) !

S. Chalandon : « Le quatrième mur » : « L’idée de Samuel était belle et folle: monter l’Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé.
Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m’a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l’a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m’offre brutalement la sienne … » Un livre prenant, étouffant, dans un monde en guerre où la vie est plus intense … Magnifique

« L’hygiène de l’assassin » de Amélie Nothomb

thCAO1H3TH « 13 à table » : 13 des plus grands auteurs français actuels pour 13 nouvelles centrées autour d’un thème commun : un repas. Intrigues policières, réunions de famille qui dérapent, retrouvailles inattendues. Du noir, de la tendresse, de l’humour, de l’absurde, à chacun sa recette. 13 repas à déguster sans modération, alors à table ! Françoise Bourdin – Maxime Chattam – Alexandra Lapierre – Agnès Ledig – Gilles Legardinier – Pierre Lemaître – Marc Levy – Guillaume Musso – Jean-Marie Périer – Tatiana de Rosnay – Éric-Emmanuel Schmitt – Franck Thilliez – Bernard Werber INÉDIT

J. C. Rufin : « Immortelle randonnée – Compostelle malgré moi » (Folio – 7.50€) Jean-Christophe Rufin a suivi le « chemin du Nord » jusqu’à Saint-Jacques : huit cent kilomètres le long des côtes basques et cantabriques, à travers les montagnes sauvages. Il s’est peu à peu transformé en clochard céleste, en routard de Compostelle. Un parcours humain et spirituel, avec beaucoup d’autodérision.

« Rouge Brésil » : (Folio, 8.60€) La rencontre de la civilisation indienne d’Amérique du Sud et de la civilisation européenne au temps de la colonisation, troublant appel du bonheur…

E. Carrère : « Limonov »  : un vrai roman d’aventure, dans la Russie de la guerre à nos jours (Folio, 8.10)-  « Bravoure » 1816, Lord Byron et des amis au bord du lac de Genève. Byron propose que chacun écrive un récit terrifiant… Ce récit inspirera le roman Frankenstein ! (Folio, 7.50€)   – « La moustache » Un jour, croyant faire sourire votre entourage, vous vous rasez la moustache. Mais rien ne se passe… Vous insistez, on vous retourne que vous n’avez jamais eu de moustache…interprétations impossibles, fuites irraisonnées… Une fin surprenante.(Folio, 5.95€)

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– Barbery M. :  « La vie des elfes », « La gourmandise »

Barbusse H. : « Le feu »

Bourdin F. « Un soupçon d’interdit », « Serment d’automne »

E. Carrère : « D’autres vies que la mienne« , « Un roman russe »

Camus : « La peste« , « l’été« , « L’étranger »

Céline : « Voyage au bout de la nuit« , « Casse-Pipe »

Cendrars B. : « La main coupée »

Chalandon S. : « Le quatrième mur »

Claudel Ph. : « les âmes grises »

Cocteau J. : « Thomas l’imposteur »

Dorgelès R. : « Les croix de bois »

Drieu de la Rochelle : « La comédie de Charleroi »

Dugain M. : « La chambre des officiers »

Du Gard R. M. :  » Les Thibault » Tomes 1, 2, 3

Foenkinos D. : « La délicatesse« , « Charlotte »

–  J. Garcin : « Le voyant »

A. Gavalda : « Des vies en mieux »

Giacometti – Ravenne : « Le règne des Illuminati »

Gide : « Les faux-monnayeurs« ,

Giono J. : « Ecrits pacifistes »

Houellebecq : « Extension du domaine de la lutte »

Japrisot S. : « Un long dimanche de fiançailles »

Khadra : « Ce que le jour doit à la nuit »

Kinsella S. :  » Nuit de noces à Ikonos »

E. Louis : « En finir avec Eddy Bellegueule »

Le CLézio : « Le chercheur d’or »

Levy Marc : « Une autre idée du bonheur »

Modiano : « Dora Bruder« , « Rue des boutiques obscures », « L’herbe des nuits »  , « Les boulevards de ceinture« , « La place de l’étoile« , « Dans le café de la jeunesse perdue »

Nothomb A. : « Hygiène de l’assassin »

Ovaldé V. : « Ce que je sais de Véra Candida »

Pennac D. : « Monsieur Malaussene » – « La fée carabine »

Puertolas : « L’extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea »

Proust : « Le temps retrouvé »

Revillon B. : Dieu n’y peut rien »

Rouault J.  » Les champs d’honneur »

Salveyre L. : « Sept femmes »

– Sartre J.-P. :  « Huis clos » suivi de « Les mouches »

Simon C. : « L’acacia »

– Solers Ph. : « Femmes »

Süskind P. : « Le parfum »

Tesson S. : « S’abandonner à vivre »

Voltaire : « Candide », « Micromégas »

Werber B. : « Les fourmis » »

Zola : « Les Rougon-Macquart, ou Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire«  les 20 tomes en 6 volumes chez OMNIBUS (occas 20 € le tome)