Comedia-infantil« Comedia infantil » de H. Mankell
Quelque part en Afrique, la nuit, un homme assis sur le toit d’un théâtre contemple la ville. A ses pieds, un enfant blessé est en train de mourir. Nelio, âgé de dix ans, a vécu la guerre civile et l’errance. Il lui raconte son histoire, en opposant à la barbarie des hommes la poésie et la générosité d’un imaginaire enfantin. Une parole poignante qui résonne comme une fable universelle.
« Restituer toute la misère et toute la poésie de l’Afrique dans un conte pour adolescents pouvant enchanter les adultes: ce défi relevé avec plus ou moins de bonheur par Erik Orsenna dansMadame Bâ, Henning Mankell l’a réussi à merveille.
Cet auteur de polars suédois, qui est comme chez lui au Mozambique, prête sa plume à un gamin des rues qui confie ses secrets avant de mourir. Nelio a connu l’horreur absolue: le massacre de sa famille par des miliciens drogués. Il gagne la capitale, se réfugie, comme Gavroche, à l’intérieur d’une statue, et se joint à une bande de gamins qui vivent de mendicité, de rapines et de diverses combines. Terrible pays que celui où un enfant de dix ans possède déjà la sagesse d’un vieillard. Superbe pays que celui dont les habitants saisissent au vol la moindre occasion de sourire, le plus minuscule bonheur. » L’Express

« Valse dans les ténèbres » de W. Irish :1
Pour le N° 50 de la collection Rivages/Noir », nous avons tenu à choisir un auteur prestigieux de l’âge d’or du roman noir : William Irish. Cinq nouvelles inédites : une panthère échappée dans les rues d’une ville , un homme malade qui s’accuse d’un crime qu’il na pas commis pour que sa femme touche une récompense , une manucure maladroite qui tue son client , un personnage mystérieux qui recueille les kleptomanes pour les faire travailler à son compte , un homme qui sort de prison et valse avec le fantôme de sa fiancée morte. Mélodrame, violence, désespoir : tout l’art de Irish, concentré dans cinq de ses meilleures nouvelles. » l’éditeur.

11« Le paradis des ratés » de Ed. McBain
Qu’une blonde incendiaire débarque dans son bureau et les résolutions de farniente de l’avocat Matthew Hope s’envolent en fumée. C’est d’accord, il s’occupera de son affaire et partira à la recherche de son volage de mari… que l’on découvre le soir même, mort sur la plage de North Galley Road en Floride. Mais l’habitne fait pas le moine et les papiers d’identité de l’époux retrouvés dans la poche du cadavre non plus. Alors ? Qui est cet homme dont la piste remonte jusqu’au 87e district à Isola ? L’inspecteur Steve Carella, un peu réticent, finit par se prendre au jeu et accepte de donner un coup de mainà l’avocat qui force sa sympathie.Ed McBain, auteur de plus d’une centaine de romans policiers et maître incontesté du scénario et du dialogue, trouve là l’occasion d’une rencontre inédite entre ses deux héros fétiches. Ils croiseront sur leur chemin des personnages totalement déjantés, des ratés, des minables, prêts à vivre leurs fantasmes à n’importe quel prix.–Claude Mesplède

« Le secret du mari » de Liane Moriarty : (roman australien, suspens, secret de famille)1111
Jamais Cecilia n’aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l’enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n’ouvrir qu’après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l’ouvre et le temps s’arrête… À la fois folle de colère et dévastée par ce qu elle vient d’apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va la ronger, si elle parle, ceux qu elle aime souffriront.
Liane Moriarty brosse un tableau nuancé et émouvant de l’amour (marital et familial) et se révèle bien mieux qu un simple auteur de best-sellers : une romancière dont les personnages attachants pourraient être vos amis ou vos voisins, avec leurs qualités et leurs failles.
Découvert par Amy Einhorn, l’éditrice américaine de La Couleurs des sentiments, Le secret du mari est un immense succès aux U.S.A : N° 1 sur la liste des best-sellers du New York Times, il figure toujours sur les listes des meilleures ventes deux ans après sa sortie. Le Secret tient en haleine deux millions de lecteurs dans le monde dont un million aux USA.

111« Le crépuscule des stars » de R. Bloch : (roman policier noir américain, histoire du cinéma et début du XX°)
Au temps du cinéma muet, un jeune scénariste ambitieux tente de se faire une place dans un studio hollywoodien. Mais l’irruption du parlant, l’industrialisation du cinéma et la toute-puissance de l’argent vont venir bouleverser le quotidien du studio. Entre ceux qui plient et ceux qui résistent, la guerre est déclarée. Jusqu’à la folie. Un roman noir et flamboyant, une atmosphère angoissante, à mi-chemin entre Sunset Boulevard et Freaks.

« La fille du train » de P. Hawkins (thriller psyclologique anglais, histoire d’amour et de manipulation)12
Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour pour aller et revenir de Londres. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe une jolie maison. Cette maison, elle la connaît par coeur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’elle aperçoit derrière la vitre : Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l’être par le passé avec son mari, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte. 
Mais un matin, elle découvre un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…

Adaptation cinématographique (sortie : 26 Octobre 2016) , de Tate Taylor, avec : Emily Blunt, Haley Bennett, Justin Théroux, Luke Ewans, Rebecca Fergusson . 

« Les terroristes » de M. Sjöwall et P. Wahloo (roman policier suédois, assez drôle, sur fond de politique)
À Stockholm, un sénateur américain, « héros » de la guerre du Viêt Nam est reçu officiellement par le Premier ministre suédois. Cette visite, loin de faire l’unanimité, déclenche des manifestations d’hostilité d’une partie de la population. Martin Beck et son équipe, chargés d’assurer la protection des deux personnalités, mettent en place un important dispositif de sécurité. Malgré toutes ces mesures, le Premier ministre est assassiné. Cette dixième enquête du commissaire Beck clôt de façon brillante le cycle Le Roman d’un crime. Cette série de procédure policière, critique des dysfonctionnements d’un système et témoin de sa lente dégradation, s’achève sur un constat pessimiste et désabusé, à l’image même de l’enquêteur Beck. Dans cet ultime récit, il s’attache à analyser les causes de la violence, qu’elle soit l’oeuvre de terroristes professionnels ou de gens ordinaires. Un livre prémonitoire : quelques années plus tard, Olof Palme, alors Premier ministre, était assassiné. –Claude Mesplède 

« La voiture de pompiers disparue » de M. Sjöwall et P. Wahloo (roman policier suédois, entre le développement durable et l’univers carcéral)12
Gunvald Larsson est en train de surveiller un immeuble déshérité, lorsque le bâtiment explose. Il se porte aussitôt au secours des résidents. A première vue, l’incendie paraît accidentel : il suffit d’un malheureux concours de circonstances, une substance inflammable, de l’essence… D’ailleurs l’un des habitants se serait suicidé au gaz, transformant son appartement en véritable bombe. Affaire classée. Sauf que Larsson ne l’entend pas de cette oreille ; le feu était trop violent, il s’est propagé trop vite. C’est alors qu’une révélation stupéfiante va rendre l’affaire totalement incompréhensible…
Maj Sjöwall et Per Wahlöö ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l’enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette oeuvre, qui a marqué la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l’original suédois. La Voiture de pompiers disparue a été portée à l’écran par Hajo Gies en 1993.
« La première grande série de thrillers policiers. » (Michael Ondaatje)

o4 » Au bout de l’arc-en-ciel » de J. Cain
Dave Howell, 22 ans, vit avec sa mère Myra dans une ferme perdue au fond de l’Ohio. Myra n’a que seize ans de plus que son fils et trouverait « naturel » de coucher avec lui. Mais Dave s’y refuse. Une nuit, mère et fils sont réveillés par des cris. Un pirate de l’air vient de débouler dans leur vie avec une rançon de cent mille dollars en liquide et une superbe hôtesse de l’air qu’il a prise en otage. La tentation est trop forte: une fois le pirate éliminé, qui pourrait savoir si l’argent a été perdu ou volé ? L’auteur du Facteur sonne toujours deux fois excelle à décrire la campagne des petits Blancs et des bouilleurs de cru ; celle, venue du fond des âges qui veut encore croire qu’il suffit d’aller ramasser la fortune au bout de l’arc-en-ciel. « Au bout de l’arc-en-ciel, je suis heureux de le dire, est du pur Cain, et tout y est : la grosse galette, les circonstances inhabituelles, le style économe et serré, le dialogue cadencé. » Charles Willeford

o3« La pluie de néon » de J. Lee Burke
Se mêler des affaires des autres est parfois une manière de survivre. Surtout quand on a un léger problème d’alcool, de vilains souvenirs du Vietnam et une haute idée de la justice. C’est le cas du lieutenant cajun Dave Robicheaux, que sa plaque à la Criminelle de La Nouvelle Orléans ne préserve pas des ennuis. Avant de passer sur la chaise électrique, Johnny Massina lui révèle que les « Colombiens » veulent sa tête. Tout ça parce que Robicheaux a découvert le cadavre d’une jeune Noire dans le Bayou et met en doute la thèse de l’accident, soutenue par la police locale. Dave met le doigt dans un engrenage infernal. Le lecteur aussi. Auteur majeur du roman noir américain, Burke inaugure, avec ce titre, le cycle Dave Robicheaux qui atteindra des sommets dans Dixie City. Si l’humour reste présent dans cette plongée en eaux troubles, on est marqué par les souvenirs cauchemardesques du détective, procédé fétiche de l’écrivain. L’intrigue est serrée, les dialogues rythmés, les descriptions dignes de Faulkner. –Bruno Ménard

o1 » Orange crush » de Tim Dorsey
Marlon Conrad est devenu gouverneur républicain de la Floride suite au décès accidentel de son prédécesseur. Un père influent et des amis haut placés lui assurent une réélection tranquille, à condition qu’il continue à ne rien faire et à signer des contrats en faveur de tous ceux qui l’ont aidé.Seul petit problème: Marlon a  » oublié  » de se faire recenser par le Service national. Pour pallier cette absence de patriotisme préjudiciable, il se fait enrôler dans la réserve et passe deux semaines médiatisées sous les drapeaux. Malheureusement pour lui, voilà les réservistes de son unité mobilisés pour aller en Serbie. Le candidat Marlon Conrad va y vivre une expérience traumatique qui bouleverse totalement sa conception de l’existence.
De retour sur le sol américain, il réoriente sa campagne électorale. Affrétant un camping-car dont les flancs sont ornés des mots Orange Crush en belles lettres couleur mandarine, il sillonne la Floride profonde, découvre l’Amérique des pauvres et… se met à dos ses anciens alliés. En compagnie d’un inénarrable directeur de campagne que toutes les minorités effraient, Marlon suit une route semée d’embûches, c’est le moins qu’on puisse dire.
Après deux romans burlesques et échevelés qui faisaient voler en éclats les codes du roman criminel, Tim Dorsey va encore plus loin. Il nous entraîne dans une épopée aussi drôle que féroce et met à nu les coulisses du cirque politico-médiatique, dans un Etat qui a beaucoup fait parler de lui lors des deux dernières élections présidentielles.

 » V.I.T.R.I.O.L. » de J.-P. Ribat (voir article)
 
« La fille du train » de Paula Hawkins : Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train hawkinsdeux fois par jour pour aller à Londres. Le 8 h 04 le matin, le 17 h 56 l’’après-midi. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe, lors d’’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par cœoeur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’’elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l’’être par le passé avec son mari, avant qu’’il ne la trompe, avant qu’’il ne la quitte. Rien d’’exceptionnel, non, juste un couple qui s’’aime. Jusqu’’à ce matin où Rachel voit un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, décide d’’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’’est avec stupeur qu’’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…
Un thriller psychologique exceptionnel.

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J. Amila :  » Le boucher des Hurlus »

T. Benacquista :

« Trois carrés rouges sur fond noir », un crime dans le monde des œuvres d’art.(Folio policier )F6
– « Les morsures de l’aube » : Roman noir au style inimitable
– « La comédie des ratés« 
– « La machine à broyer les petites filles« 
 
Bussi :
– « Maman à tort« 
– « Mourir sur Seine » – vendu, à commander
« N’oublier jamais« 
– « Ne lâche pas ma main » – vendu, à commander
 
D. Chappey : « J’avais la croix » : un polar de la série LE POULPE, la scène ici se situe dans le massif de la Chartreuse, au Grand Som. (La Baleine, 9.50€)
 
M. H. Clark : « Une chanson douce » (livre de poche, 7.60€), « Quand reviendras-tu » (Livre de poche, 7.60€)
 
H. Coben : « A quelques secondes près« , « Fautes de preuves« , « Six ans déjà« (vendu, à commander)
 
R. Cook : « Comment vivent les morts » (7€), « Le soleil qui s’éteint » (6.40€),  « Les mois d’avril sont meurtriers »(6.40€), « J’étais Dora Suarez » (8.05€), « Vies privées, vies publiques »(7.35€)
 
M. Connelly : « Volte-face« , «  Le cadavre dans la Rolls »
 
Daenninck :
« Le géant inachevé« 
 
L. Davidsen : « La chanteuse russe« 
 
R. Diaz-Eterovic : « La couleur de la peau« – Métailié, 10€ (vendu, à commander)
 
R.J. Ellory : « Mauvaise étoile » (Le livre de poche, 8.20€)
 
Garcia T. :
– « Faber, le destructeur »
 
D. Goodis : « Cauchemar » : Perry est condamné pour le meurtre de sa femme et enfermé à San Quentin où l’insupportable le pousse à s’évader. Il part à la recherche du meurtrier de sa femme.(Folio policier) roman américain F8
 
D. Hammett :
– «  La clé de verre« 
– « Moisson rouge« 
– « Le grand braquage« 
– « Coup de feu dans la nuit« 
 
C. Himes :
– « La reine des pommes » : Première enquête de personnages mythiques que sont Ed Cercueil et Fossoyeur. Un roman noir mettant en scène le truand le plus candide de Harlem… Truculent et plein d’humour. (Folio policier) F6
– « S’il braille, lâche-le... ». Roman noir sur fond de racisme aux États-Unis.
 
 M. Higgins Clark :
« Une chanson douce« 
R. Hobb : « L’assassin royal  » – de 1 à 10
 
Arnaldur Indridasson :
– « Etranges rivages » :  En Islande, le commissaire Erlendur, hanté par le passé, enquête à la fois sur des histoires passées non résolues et sur la disparition de son frère.(Points policier, 7,60€)
-« La femme en vert« 
– « La cité de jarre« 
– « Hiver arctique« 
 
C. Läckberg : Camilla Läckberg-Eriksson, née le 30 août 1974, est l’auteur de plusieurs romans noirs mettant en scène Erica Falck et dont l’intrigue se situe toujours à Fjällbacka, port de pêche de la côte ouest en Suède. Ses ouvrages se sont tous classés parmi les meilleures ventes de ces dernières années dans son pays et le succès est aussi de mise à l’étranger
– « Les prédicateurs » (Acte Sud – coll. Babel noir – 9.70€)
– « La princesse des glaces« (Acte Sud – coll. Babel noir – 9.70€)
– « Cyanure« (Acte Sud – coll. Babel noir – 7.00€)
‘Le tailleur de pierre »
 
Larsson S. : « Millenium » 1, 2, 3 (Acte sud, coll. Babel noir – 10€)
 
Dennis Lehanne : « Mystic river« , « Moonlight mile« , « Shutter Island« 
L. Lehtolainen : « Mon premier meurtre » -J’ai lu policier – 6.70€
 
Colum McCANN : « Et que le vaste monde poursuive sa course folle« 
 
W. Mc Ilvanney: « Laidlow« , « Les papiers de Yoni Weitch« , « Etranges loyautés« 
 
 H. Mankell : « Les chiens de Riga » (Points policier – 7.30€), « Les morts de la Saint Jean« , « La cinquième femme« , « Le retour du professeur de danse« , « Un paradis trompeur« 
 
J. P. Manchette : un auteur d’aventures, de critique sociale et de peinture de la vie quotidienne » :
– « La position du tireur couché » : Martin avait un beau plan de vie : 10 ans de métier d’assassin ..et la belle vie . Un polar (Folio policier »F6
– « Fatale » : Le roman noir d’une tueuse professionnelle. F4
 
Musso : « Central park » (Pocket, 7.90€)
 
– H. Nesser : « Le retour de la grande ombre »  (Points policier – 7.30€) ( vendu, à commander)
J. Nesbo : « L’homme chauve-souris » (occas, 4€), « Fantôme« F9, « Police » (Folio, 8.50€)
 

E. Poe : «  Histoires extraordinaires »(Folio classique) F5

A. Rambach : « Ravages » (Rivages noirs, occas, 5.00€)

P. Robinson : « Ne jouez pas avec le feu » (occas, 4€)

Simenon :

–  » L’affaire Saint Fiacre« , « Les fiançailles de Monsieur Hire« , « Les fantômes du chapelier« 

– « Tout Simenon » Edition OMNIBUS (T. 1 : 26 € – T.2 : 28€)

 M. Sjöwall – P. Wahlöö :
– « Le policier qui rit »
–  » L’homme qui partit en fumée »

M. Sjöwall – P. Wahlöö sont les précurseurs du polar suédois. Il s’agit d’ une série de thriller des années 1960, des enquêtes minutieuses de Martin Beck, de la criminelle de Stockholm.

J. Thompson : « Un chouette petit lot » – (Folio policier, 7€)

A. Thorarinsson : « Le dresseur d’insectes » –  (Points policier – 7.90€)

F. Vargas : « l’homme aux cercles bleus » et « Pars vite et reviens tard » (Magnard collège, 5.20€), « Un lieu incertain (J’ai lu, 7.80€), « Ceux qui vont mourir te saluent« (J’ai lu, 5.70€)

D. Westlake : « Mémoire morte » (Rivages noirs – 8.50€) – vendu, à commander, « Pomme de discorde »( Rivages noirs, 7.00€)

 

 

ENQUÊTES DANS L’HISTOIRE :

James Ellroy : écrivain américain qui passe au crible le cauchemar américain nourri des coïncidences de l’histoire des années 1960. Pour amateurs de complots !
– « American tabloid » : Entre récit et roman, ce livre dresse le tableau dantesque des cinq ans, mille jours de l’administration Kennedy. Une grande oeuvre dense qui requiert toute notre attention car une simple ligne parcourue d’un œil distrait et c’est une conspiration, un retournement de veste ou un cadavre qui risque de nous échapper…
– « Américan death trip » : Dallas 1963, le cœur du rêve américain explose ! Ellroy nous dépeint cinq années dans les coulisses de la politique américaine, à suivre un jeune flic envoyé pour étouffer la vérité. (deuxième volet de la trilogie)
– « Underworld USA » : , été 1968, Martin Luther King et Robert Kennedy ont été victimes de conspirations meurtrières. A la croisée des chemins de l’histoire, les chemins croisés de trois hommes à la recherche de la même femme…(Dernier volet de la trilogie)
– « Lune sanglante » : Opéra noir, peuplé de fantômes, où le sexe et la mort rôdent sans cesse dans l’immensité inhumaine de Los Angeles, la mal nommée.

Didier Daeninckx

– « Métropolice »
– « Meurtres pour mémoire » : La mort de Thibaud a été camouflée dans les massacres des manifestations d’Algériens, en octobre 1961. Mais l’assassinat de son fils dévoile le passé .
– « Le géant inachevé » : L’inspecteur Cadin, héros décalé de « Meurtres pour mémoire », est placé malgré lui à la recherche de l’auteur d’un crime étrange, ou le coupable présumé sombre dans la folie.